Sunday, October 25, 2015

Contoh karangan pendek untuk DELF Bahasa Perancis tahap A2

Il s'appelle Batiste Leroy. Son métier est coiffeur (Il est coiffeur). Ses goûts sont faire la fête avec ses copains, aller dans des bars ou au restaurants (aller aux bars ou aux restaurants), voyager et rencontrer des gens et écouter les chansons françaises. Ses loisirs sont de faire de la musique, jouer de la guitare, chanter dans un groupe et faire du ski, du parapente et du surf. Il peut aller (participer) à l'émission de Nouvelle Star.

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Pour le premier voyage, il est plus court que le deuxième voyage. Le premier voyage a autant de personnes d'une groupe que le deuxième voyage. Le premier voyage a moins de lieus (lieux) de visite que le deuxième voyage. Le deuxième voyage est autant de qualité d'hôtel que le premier voyage (Les 2 voyages one des hôtels de même qualité). Le deuxième voyage est plus cher que le premier voyage. Alors, je prefèré (préfère) le voyage numéro 1 parce que c'est plus bon marché.

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Salut mon ami, Qu'est-ce que tu fais maintenant? Désolé pour la faux d'épéler (la faute sur) ton nom, je suis un peu maladroit parfois. Mes écritures sont laides, non? Désolé aussi pour ça. A prochaine (la prochaine) rencontre. Si Dieu le veut.

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Une personne a écouté (entendu) des coqs ont parlé (chantaient) et des alarmes de réveil ont sonné. Il s'est réveillé tout de suite et l'horloge a indiqué 6 heures pile. Après, il est allé à la toilette (aux toilettes). Il a mangé un simple petit-déjeuner à (dans) sa cuisine qu'il a fait tout seul: un (du) fromage et un (du) café et il est allé à sa voiture pour aller à son travail où il travaillait comme surveilleur (surveillant). Il est arrivé à la gare, puis il est entré dans son bureau où il a mettu (mis) ses choses. Après cela, il a vu des travailleurs et des personnes qui tener (tenaient) un marteau-piquer pour modifier la gare comme il a voulu. Ensuite, il a téléphoné l'ambulance parce qu'il a été (eu) un accident à (dans) la gare grâce à (et c'était) une personne qui appeler son nom pour (lui exige de) téléphoner l'ambulance: "Jacques Michel! Téléphoner (Téléphonez l'ambulance!"

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Cette la memoirs-là (C'était cette mémore-là) qu'il a rappelée (dont il s'est souvenue) ses 30 ans derniers: le (un) temps où ce été (c'était) très dur pour (de) téléphoner quelqu'un, mais aujourd'hui, il y a beaucoup de téléphone portable moderne (téléphones portables modernes).

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J'ai toujours envie de travailler dans un lycée surtout dans le lycée Christine Lyet parce que ce lycée est le meilleur en France, je pense. Le système dans ce lycée est rangée (organisé) que les autres lycées. J'aimerais travailler comme assistant d'éducation parce que je peux (pourrais) voir les comportements des étudiants. Par exemple comment font-ils des rélations (relations) et des amis entre eux. De plus, le salaire est que je préfére (je préfère le salaire). Il est suffisant pour moi et ma famille (ma famille et moi). Il y a aussi le (un) contrat indéterminé où que (, donc) je pourrais, si je voudrais (voulais), quitter le travail. Je peux (pourrais) aussi l'utiliser pour voir et suivre la situation de mes enfants, là dans ce lycée. Le travail n'est pas fatigant parce que tout le chose j'aurais faire est les (je ne devrais faire que) des choses simples: appeler les parents pourquoi ses (leurs) enfants ne pas venir (ne sont pas venus) et etc.

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Il a habité dans un appartement à Besançon seul. Il veut (voulait) étudier et travailler dans un autre pays pour vivre différentment (différemment). Il a reçu une bourse pour étudier en Malaisie parce qu'il a réussi un examen. Il connait (sait) maintenant que travailler en Malaisie est très fatigant pqrce qu'il y a beacoup de soleil, tous les jours. Il habite dans un immeuble de Malaisien (malaisien). Il travail partiel-temps (à temps partiel) dans un restaurant malaisien à Kuala Lumpur. Il est très content et peut s'adapter avec les (aux) gens de la Malaisie. Il sait bien la langue de malaise (la Malaisie) et peut cuisine la nourriture traditionnelle qui s'appelle "rendang". Aujourd'hui, il parle le français, le malais, l'arabe et l'anglais. Il aime le football et l'internet (Internet): Facebook et Twitter.

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Le week-end dernier, j'ai parlé avec ma mère par mon téléphone portable. Quelques jours avant ça, j'avais essayé plusieurs fois mais le téléphone avait toujours eu quelquels fonctionnes qui sont (étaient) en pannes parce que mon téléphone n'est pas (n'était pas) moderne. Quand j'ai appelé, d'abord, j'ai pensé il (que ce) sera (serait être) la même chose comme avant (d'ordinaire) mais après 2 minutes, ma mère a décroché mon appel. Elle me dit (m'a dit) que (:) Allô? Qui est à l'appareil? Je l'ai répondu (répondue) avec excitation. Elle me demande (m'a demandé) si je téléphone (lui téléphonais) en mangeant, j'ai ri et lui j'ai répondu (je lui ai répondu): oui. Après cela, elle me sui faché (elle s'est fâchée contre moi) et elle me dit (m'a dit) que je lui avais manqué (je lui manquais) vraiment et j'ai pu entendre qu'elle pleurais (pleurait) un peu. Elle me dit (m'a dit) que si je retourne (retournais) à notre pays (en Malaisie), elle m'embrassera (m'embrasserait). Tout à toup, le (la) ligne a terminé (était coupée).




Saturday, October 10, 2015

Analisis novel La Symphonie Pastorale, oleh André Gide

André Gide: penulis
Tarikh lahir: 22 November 1869 di Paris
Tarikh permergian: 19 Februari 1951 di Paris
Kejayaan: Hadiah Nobel dalam Kesusasteraan (1947)

Fatin Aiman KAMARUDDIN 
08.10.2015
La Symphonie Pastorale, André GIDE ; 1919 Paris ; 149 p.

PRESENTATION DE L’AUTEUR
André GIDE (1869-1951) est un écrivain français venant d’une famille bourgeoise protestante, ayant découvert son homosexualité en 1893 pendant son voyage en Afrique du Nord où a commencé sa vie littéraire . Après son retour de l’Afrique du Nord, il a décidé de passer par la Suisse pour soigner sa maladie névrose et il a écrit une œuvre littéraire, Les Nourritures terrestres. Il meurt en 1951 à Paris à cause d’une congestion pulmonaire.
1897
André GIDE défend des Dreyfusards dans le conflit de l’affaire Dreyfus
1908
L’un des fondateurs de la Nouvelle Revue Française – Le premier numéro
1937
André GIDE écrit Retouches à mon « Retour de l'U.R.S.S. » après Retour de l'U.R.S.S. qui indique la rupture de sa relation avec le communisme.
1947
Il est honoré par le prix Nobel de littérature.

GIDE André, La Symphonie Pastorale, Paris, Gallimard, Nouvelle Revue Française, 1919
L’immoraliste, Paris, Mercure de France, 1902
La Porte Etroite, Paris, Mercure de France, 1909

RESUME DU LIVRE
     La Symphonie Pastorale est le récit complexe d’un conflit à la fois religieux et amoureux. Etant un pasteur protestant, le cœur du narrateur se bat vigoureusement pour avouer son amour à une jeune fille aveugle, Gertrude, elle-même amoureuse du fils du pasteur.Ce triangle amoureux renvoie à un amour confus et mystérieux montrant le vrai amour où l’on peut apercevoir que l’amour, lui-même est aveugle. Quant à Gertrude, elle découvre le plaisir d’être une aveugle en étant plus sensible au sens de l'ouïe.

L’EXTRAIT
     Tout occupé par mes comparaisons, je n’ai point dit encore l’immense plaisir que Gertrude avait pris à ce concert de Neuchâtel. On y jouait précisément La Symphonie Pastorale. Je dis « précisément » car il n’est, on le comprend aisément, pas une œuvre que j’eusse pu davantage souhaiter de lui faire entendre. Longtemps après que nous eûmes quitté la salle de concert, Gertrude restait encore silencieuse et comme noyée dans l’extase.             – Est-ce que vraiment ce que vous voyez est aussi beau que cela ? dit-elle enfin. – Aussi beau que quoi, ma chérie ? – Que cette «  scène au bord du ruisseau ». Je ne lui répondis pas aussitôt, car je réfléchissais que ces harmonies ineffables peignaient, non point le monde tel qu’il était, mais bien tel qu’il aurait pu être sans le mal et sans le péché. Et jamais encore je n’avais osé parler à Gertrude du mal, du péché, de la mort.
-          Ceux qui ont des yeux, dis-je enfin, ne connaissent pas leur bonheur.
-          Mais moi qui n’en ai point, sécria-t-elle aussitôt, je connais le bonheur d’entendre. 

COMMENTAIRES
      Selon moi, cet extrait présente une vue d’ensemble de cette œuvre car cela montre la capacité d’une fille aveugle à bien utiliser son sens de l'ouïe sans la vue et également donne l’impression que Dieu est juste étant donné qu’un aveugle n’a pas de péché. Même si je peux tout voir et tout entendre, il me reste des tas de responsabilités à endosser dans la vie. Cet extrait contient tous les aspects de l’histoire : la seule fois que le titre de l’œuvre a été abordé, la relation entre l’amour et l’innocence du personnage et de montrer que la vie n’est pas toujours dans l’extase.

AVIS PERSONNEL

      D’être une aveugle est la dernière chose que je souhaite devenir dans ma vie. Je pensais que si je perdais la vue, je perdrais tout : le pouvoir d’agir, de réfléchir, d’entendre. Comme je suis myope, j’ai des problèmes à faire avancer des choses sans mes lunettes ou mes lentilles. J’ai peur d’être une aveugle. Oui, j’avoue. Or, cette belle histoire de Gertrude m’a fait ouvrir les yeux sur le fait qu’une aveugle peut vivre une vie plus normale qu’une normale. Je me suis rendue compte que cet irremplaçable sens de la vue pourrait nous mettre de l’autre côté du monde. Maintenant, je suis convaincue que les aveugles sont plus forts dans le sens de coordinations de conduire leurs vies que nous, qui avons les yeux remplis de perles. Les perles ayant bloqué notre vraie raison d’être.

Friday, October 9, 2015

Analisis novel autobiografi, Mémoire d'une jeune fille rangée, oleh Simone De Beauvoir

Antara makalah rujukan utama dalam ideologi eksistentialisme
Simone de Beauvoir: Ahli falsafah, penulis, pengkritik, feminis, pendidik
Tarikh lahir: 9 Januari 1908 di Paris, Perancis
Tarikh meninggal: 14 April 1986
Pekerjaan khusus: Guru di Marseille, Rouen dan Paris.
Pendidikan: Cours Adeline Désir (Pendidikan rendah), Institut Catholique (Pendidikan tinggi), Institut Saint-Marie (Pendidikan tinggi), Sorbonne (Pendidikan lanjutan)
Sumbangan: Menstruktur falsafah eksistentialisme dan feminisme

Muhammad Usamah Bin MOHD RIDZUAN, 08/10/2015
Mémoires d’une fille rangée, DE BEAUVOIR Simone, 1958, Paris, Gallimard (473 pages)

            Simone De Beauvoir est née le 9 janvier 1908 à Paris où elle a fait ses premières études dans un établissement scolaire catholique, L’Institut Adeline Désir dit le cours Désir, jusqu’au baccalauréat. Elle a passé son agrégation en philosophie en 1929, l’année où celle-ci s’est nouée en relation amicale avec Jean-Paul Sartre avec qui, ensuite, elle fondait vertueusement une revue relativement philosophique, Les Temps Modernes. La première œuvre considérée comme son début de sa vie d’écrivain est L’Invitée (1943), suivis de Le Sang Des Autres (1945), Tous Les Hommes Sont Mortels (1946), Les Mandarins (1954), Les Belles Images (1966), La Femme Rompue (1968) et Quand Prime Le Spirituel (1979). D’ailleurs, elle a consacré également à d’autres types de texte: récit, théâtre et notamment essais. Ce dernier est marqué par son célèbre et véritable ouvrage de référence du mouvement féministe mondiale, Deuxième Sexe (1949) auquel l’auteur se penche sur l’existentialisme. Ce grande philosophe féministe s’est éteint le 14 avril 1986 à Paris.

            Ce bouquin d’autobiographie décrit des événements en détail tout au long de l’âge de ses premières années jusqu’à sa 21 ans dans lesquels l’auteur cherche profondément à définir ses sentiments ainsi que son état d’âme dans sa plénitude. Cajolée et adorée, son enfance fut une découverte du monde, du milieu familial et de l’enseignement précoce qui la forment et marquent son attitude penseur lucide; le Bien et le Mal sont deux dimensions qu’elle essaie de décortiquer. Trouvé ensuite une amie à jamais, Élisabeth Mabille ou plus intimement Zaza, avec qui Simone s’épanouit dans ses échanges intellectuels, cette dernière se montre très cultivée dans sa classe à l’Institut Adeline Désir. Souvent curieuse de ce qui l’entoure et de ce que sa mère lui dissimule, elle découvre seule la vérité à travers des lectures dans des livres dont certains sont prohibés ou censurés par sa mère. Les révélateurs livresques auquel s’ajoute sa réflexion personnelle et ses connaissances en classe aboutissent à des éclairements candides sur une étendue de questions, en particulier sur l’existence et le sens de vivre, d’où finalement son athéisme. Rencontrant ensuite son cousin, Jacques Laiguillon, Simone traverse sa jeunesse avec des intrigues voire des convoitises sur les libidos et l’amour-propre étant donné qu’elle est remuée et émue par l’affection apparente, sentie par elle seule, de Jacques. Simone prend sans hésitation la décision de poursuivre la filière de littérature et ensuite la philosophie lui permettant de demeurer seule, loin de ses parents qui ne la comprennent plus jusqu’à l’oppression absolue. C’est alors qu’elle fait beaucoup de contacts, parmi eux Stépha, Herbaud, Pradelle et Sartre, avec qui elle se réjouit et se nourrit délibérément de nouvelles idéologies soit par pure observation soit par des conversations soit par des travaux menés ensemble. Atteinte à son apothéose, Simone réussit à l’agrégation et à l’appréhension totale de son existence et en quoi cela regarde aussi: ses devoirs, qui la mène vers des suites plus vertueuses.

            À la page de 149 et 150: [« Je n’ai pas de personnalité »…je les subis avec dépit.]
« Je n’ai pas de personnalité », me dis-je tristement. Ma curiosité se donnait à tout ; je croyais à l’absolu du vérité, à la nécessité de la loi morale : mes pensées se modelaient sur leur objet ; si parfois l’une d’elles me surprenait, c’est qu’elle reflétait quelque chose de surprenant. Je préférais le mieux au bien, le mal au pire, je méprisais ce était méprisable. Je n’apercevais nulle trace de ma subjectivité. Je m’étais voulue sans borne : j’étais informe comme l’infini. Le paradoxe, c’est que je m’avisai de cette défiance au moment même où je découvris mon individualité : ma prétention à l’universel m’avait paru jusqu’alors aller de soi, et voilà qu’elle devenait un trait de caractère. « Simone s’intéresse à tout. » Je me trouvais limitée par mon refus des limites. Des conduites, des idées qui s’étaient imposées tout naturellement à moi traduisaient en fait ma passivité et mon défaut de sens critique. Au lieu de demeurer la pure conscience incrustée au centre du Tout, je m’incarnai : ce fut une douloureuse déchéance. La figure que soudain on m’imputait ne pouvait que me décevoir, moi qui avais vécu comme Dieu même, sans visage. C’est pourquoi je fus si prompte à me jeter dans l’humilité. Si je n’étais qu’un individu parmi d’autres, toute différence, au lieu de confirmer ma souveraineté, risquait de se tourner en infériorité. Mes parents avaient cessé d’être pour moi de sûrs garants ; et j’aimais tant Zaza qu’elle me semblait plus réelle que moi-même : j’étais son négatif ; au lieu de revendiquer mes propres particularités, je les subis avec dépit.

Je prends cet extrait en tant qu’un reflète de moi-même et une perception adéquate, en prenant sous un autre angle que mène Simone, à exhorter positivement la différence. Celle-ci se définit comme une déviation, acheminant à un nouveau monde, d’une route commune menant au monde banal et usé. Certes que l’auteur subit douloureusement de détresse par son absence d’une personnalité en dépit du charme de son amie, mais il faut savoir qu’une infime universalité, ici se distingue à une particularité personnelle, modèle des gens extraordinaires: une fois appréhendé les oppressions ou les émerveillements brusques des sentiments. En effet, se donner à tout conduit au bout du chemin la meilleure incarnation d’une personnalité rangée et maîtrisée.

            En lisant le livre, je me suis rendu compte quel est le sens de mon existence de même que de mes sentiments subits et passagers auxquels le devoir et la conduite s’imposent alors comme retombées. De plus, un environnement influence notre attitude marquante, dédaigneuse pour nous bizarre pour d’autres, donnant accès à un avenir vraisemblablement pareil à notre case de départ. Par ailleurs, une chose même si elle s’éclipsait devant nous risque avoir de grandes conséquences à notre futur dont la fiabilité demeure toujours éphémère: tout est possible d’altérer. Est-ce par ce que l’on fait nous rend à notre avenir ou bien par ce que l’on pense de faire nous amène à notre futur? Simone continue de survivre, agir et réagir sans savoir exactement les chemins à prendre ou quel sentiments à s’appliquer, pourtant, elle parvient à une démarche la poussant éventuellement d’initier d’abord par ce qu’elle escompte de convoiter ou d’accaparer. De là, elle se heurte à en réaliser jusqu’à ce qu’elle choit de nouveau dans le dilemme ténébreux. Somme toute, il faut juste recommencer de ce que l’on a commencé: être heureux.