Wednesday, November 11, 2015

Exemples d'une lecture analytique simple d'un extrait

Extrait traité: L'Etranger, CAMUS Albert, 1942

« A-t-il seulement exprimé des regrets? Jamais, messieurs. Pas une seule fois au cours de l'instruction cet homme n'a paru ému de son abominable forfait.» A ce moment, il s'est tourné vers moi et m'a désigné du doigt en continuant à m'accabler sans qu'enn réalité je comprenne bien pourquoi. Sans doute, je ne pouvais pas m'empêcher de reconnaïtre qu'il avait raison. Je ne regrettais pas beaucoup mon acte. Mais tant d'acharnement m'étonnait. J'aurais voulou essayer de lui expliquer cordialement, presque avec affection, que je n'avais jamais pu regretter vraiment quelque chose. J'étais toujours pris par ce qui allait arriver, par aujourd'hui ou demain. Mais naturellement, dans l'état où l'on m''avait mis, je ne pouvais parler à personne sur ce ton. Je n'avais pas le droit de me montrer affectueux, d'avoir de la bonne volonté. Et j'ai essayé d'écouter encore parce que le procureur s'est mis à parler de mon âme.
Il disait qu'il s'était penché sur elle et qu'il n'avait rien trouvé, messieurs les jurés. Il disait qu'à la vérité, je n'en avais point, d'âme, et que rien d'humain, et pas un des principes moraux qui gardent le coeur des hommes ne m'était accessible. «Sans doute, ajoutait-il, nous ne saurions le lui reprocher. Ce qu'il ne saurait acquérir, nous ne pouvons nouss plaindre qu'il en manque. Mais quand il s'agit de cette cour, la vertu toute négative de la tolérance doit se muer en celle, moins facile, mais plus élevée, de la justice. Surtout lorsque le vide du coeur tel qu'on le découvre chez cet homme devient un gouffre où la société peut succomber.» C'est alors qu'il a parlé de mon attitude envers maman. Il a répété ce qu'il avait dit pendant les débats. Mais il a été beaucoup plus long que lorsqu'il parlait de mon crime, si long même que, finalement; je n'ai plus senti que la chaleur de cette matinée. Jusqu'au moment, du moins, où l'avocat général s'est arrêté et après un moment de silence, a repris d'une voix très pénétrée: «Cette même cour, messieurs, va juger demain le plus abominable des forfaits: le meutre d'un père.» Selon lui, l'imagination reculait devant cet atroce attentat. Il osait espérer que la justice des hommes punirait sans faiblesse. Mais, il ne craignait pas de le dire, l'horreur que lui inspirait ce crime le cédait presque à celle qu'il ressentait devant mon insensibilité. Toujous selon lui, un homme qui tuait moralement sa mère se retranchait de la société des hommes au même titre que celui qui portait une main meurtirère sur l'auteur de ses jours. Dans tous les cas, le premier préparait les actes du second, il les annonçait en quelque sorte et il les légitimait. «J'en suis persuadé, messieurs, a-t-il ajouté en élevant la voix, vous ne trouverez pas ma pensée trop audacieuse, si je dis que l'homme qui est assis sur ce banc est coupable aussi du meurtre que cette cour devra juger demain. Il doit être puni en conséquence.» Ici, le procureur a essuyé son visage brillant de sueur. Il a dit enfin que son devoir était douloureux, mais qu'il l'accomplirait fermement. Il a déclaré que je n'avais rien à faire avec une société dont je méconnaissais les règles les plus essentielles et que je ne pouvais pas en appeler à ce coeur humain dont j'ignorais les réaction élémentaires. «Je vous demande la tête de cet homme, a-t-il dit, et c'est le coeur léger que je vous le demande. Car s'il m'est arrivé au cours de ma déjà longue carrière de réclamer des peines capitales, jamais autant qu'aujourd'hui, je n'ai senti ce pénible devoir compensé, balancé, éclairé par la conscience d'un commandement impérieux et sacré et par l'horreur que je ressens devant un visage d'homme où je ne lis rien que de monstrueux». 
Quand le procureur s'est rassis, il y a eu un moment de silence assez long. Moi, j'étais élourdi de chaleur et d'étonnement.
***
Première lecture analytique

En lisant cet extrait, je trouve deux grands axes: 1) La domination de sentiments de Meursault 2) La justice incompréhensible

2) La justice incompréhensible
a) L'accusation absurde
- Le procureur ne parle que de l'âme de Meursault qui n'est peut-être pas la cause de son crime.

  • «Il disait qu'à la vérité, je n'en avais point, d'âme, et que rien d'humain...»
  • «Surtout lorsque le vide du coeur tel qu'on le découvre chez cet homme devient un gouffre...»

- Il accuse Meursault de ne pas avoir l'âme normake comme les autres

  • «...Je ressens devant un visage d'homme où je ne lis que de monstrueux.»
- Il a dit aussi que la justice des hommes punirait sans faiblesse

    • «Il osait espérer que la justice des hommes punirait sans faiblesse.»
    b) L'impossibilité de se défendre
    - Meursault ne pouvait pas se défendre parce que personne ne le croyait et il savait que personne ne le croirait.
    • «J'aurais voulu essayer de lui expliquer...»
    • «Je ne pouvais parler à personne...»
    - Il était en colère et triste aussi mais il dominait ses émotions et restait indifférent

    • «Je n'ai plus senti que la chaleur de cette matinée.»

    - Les autres ne voulaient pas non plus l'écouter parce qu'ils pensent que c'est absurde

    • «Ce qu'il ne saurait acquérir, nous ne pouvons nous plaindre qu'il en manque»
    ***
    Deuxième lecture analytique

    1) La fiabilité de la justice - l'enjeu de la jstice et les conséquences
    2) La compréhension de deux personnes - Meursault et le procureur

    1) La fiabilité de la justice
    a) Qu'est-ce qui prime par-dessus tout?

    Le procureur a pussé les jurés et ceux qui l'écoutent à reconnaître irrévocablement la culpabilité de Meursault non pas par son crime mais par son insensibilité, son indifférence. 
    • «Il disait...je n'en avais point, d'âme, et que rien d'humain, et pas un des principes moraux...»
    • «...qu'il a parlé de mon attitude envers maman.»
    • «l'horreur que lui insipirait ce crime le cédait presque à celle qu'il ressentait devant mon insensibilité.»
    b) Une accusation sévère

    Par conséquent, le procureur a légitimé lui-même la vérité de ce qu'il a dit, donc la culpabilité de Meursault. Et cela aboutit à une censure de parole pour Meursault.
    • «...il les annonçait en quelque sorte et il les légitimait.»
    • «....l'homme qui est assis sur ce banc est coupable aussi du meurtre que cette cour devra juger demain.»
    Enfin, face à cet acharncement, Meursault est défendu de parler, de se justifier.
    • «je ne pouvais parler à personne sur ce ton. Je n'avais pas le droit de me montrer affectueux, d'avoir de la bonne volonté.»
    Meursault est impuissant.
     

    Wednesday, November 4, 2015

    L'aunthenticité du Thaï Wok

    Le goût de 5 étoiles, le prix de 2 étoiles
        Dans ce très beau restaurant la patronne, une vraie Thaïlandaise, vous servira, en tant que chef professionnel, des plats originaux et authentiques de son pays, la Thaïlande…
    Mardi, 25 Mars 2013 – un groupe de deux étudiants du Centre de Linguistique Appliquée, provisoirement devenus des journalistes, a décidé d’interviewer la patronne du restaurant le Thaï Wok. Ce restaurant se situe dans la rue Claude Pouillet près du Lycée Pasteur. Il offre aux clients de gourmands plats thaïlandais aux saveurs originales et authentiques d’Asie. La patronne qui fait aussi le service est une femme à tout faire, très persévérante et courageuse. Celle-ci qui y déjà travaillé depuis novembre 2012 avait décoré ce beau restaurant en créant un environnement thaïlandais convivial et amical avec une touche moderne à travers la couleur vert feuille, sa couleur préférée.

     Pourquoi « Thaï Wok » ?
    Le plat
    Le plat
     En ce qui concerne le nom du restaurant, Thaï Wok, c’est une combinaison de son pays, la Thaïlande et d’un outil de cuisine essentiel qui s’appelle le « wok », un ustensile comme la poêle, un peu grand et de forme ovale.
    Ce restaurant finalement ; ses pertes a mise beaucoup sur cette ouverture malgré la présence des restaurants installés depuis longtemps. On voit bien aujourd’hui qu’elle a gagné l’enchère même si elle devait faire face à des obstacles périodiques comme les documents administratifs à régler pendant 6 mois entiers avant l’ouverture.
    En revanche, après avoir réglé les papiers officiels et avoir obtenu le droit de continuer son ambition passionnante, elle a créé un plat traditionnel thaïlandais à base de pâtes qui est devenu la spécialité du Thaï Wok et se nomme le « Pad Thaï ».

    Des prix amicaux.
    Le menu
    Le menu

    Quant aux prix des plats, ils sont très accessibles à partir du menu simple jusqu’au menu formule. En plus, il y a une réduction spéciale étudiants. Tout ça vous calera sûrement l’appétit. Pour elle, ce n’est pas difficile de maintenir ce restaurant et de travailler toute seule puisqu’il y a peu de meubles et de toute façon, la salle n’est pas très énorme.
     Elle a aussi affirmé « Franchiser un restaurant, c’est le style d’avoir une affaire personnelle et aujourd’hui il y a beaucoup de règles et parfois c’est impossible d’en franchiser. Par contre, c’est une bonne idée de franchiser ce restaurant pour moi. »


    Une success story
    Les débuts d’une affaire suscitent toujours la curiosité des gens et même dans le cas du restaurant le Thaï Wok. Chaque « success story » est survenue après avoir surmonté de grands obstacles. Le premier événement qu’elle avait organisé pour attirer  des consommateurs à son restaurant a été de publier des dépliants  et de mettre en ligne un site sur Internet.
    Le Thaï Wok et Besançon
    Nous et la patronne
    Nous et la patronne
    Petit à petit, les clients sont devenus nombreux : environ 140 visiteurs par semaine du midi au soir parmi lesquels des étudiants et des lycéens qui viennent fréquemment (régulièrement) à midi et d’autres viennent pour dîner ensemble entre collègues ou bien en famille. Etant donné qu’il n’y a pas beaucoup de restaurants thaïlandais à Besançon, elle avait pris le risque d’ouvrir le restaurant. Par ailleurs, le Thaï Wok est partout pour être un maximum profitable aux bisontins. Par exemple, en collaborant avec le stand de la Thaïlande au Tour du Monde, un événement majestueux du CLA, ou être invitée à être le chef à domicile dans les occasions importantes comme les anniversaires.

    En définitive, le point le plus intéressant est qu’elle travaille toute seule dans un petit restaurant avec 30 visiteurs ou davantage par jour parce que la loi de la France ne permet pas d’engager quelqu’un sans salaire. Or, ce n’est jamais un facteur démotivant pour elle vu que petit à petit, les oiseaux ont construit leurs nids.

    http://www.youtube.com/watch?v=ocIJJLLer6Y

    Les formations au CLA sont-elles les mêmes?

    Au Centre de Linguistique Appliquée de Besançon ( CLA ), il y a quatre programmes de formations auxquelles des étudiants étrangers et français participent. Ce sont le cours semi-intensif, le cours intensif, le cours de Langue, Culture, et Société ( LCS ), et le cours de langue vivante étrangère ( LVE ). Étant donné que les formations sont séparées elles-mêmes, les manières d’étudier et d’enseigner par le regard des étudiants sont aussi différentes. 


    l'environnement dans le cours
                                        l’environnement dans le cours
        Au Centre de Linguistique Appliquée de Besançon ( CLA ), il y a quatre programmes de formations auxquelles des
    Le CLA lui-même
    Le CLA lui-même
    étudiants étrangers et français participent. Ce sont le cours semi-intensif, le cours intensif, le cours de Langue, Culture, et Société ( LCS ), et le cours de langue vivante étrangère ( LVE ). Étant donné que les formations sont séparées elles-mêmes, les manières d’étudier et d’enseigner par le regard des étudiants sont aussi différentes.
    Le cours semi-intensif
    Ce type de cours qui vise à apprendre la langue française doucement aux étrangers ne se déroule que pendant 3 heures
    par jour et donc 15 heures par semaine, du lundi au vendredi. Les étudiants ont beaucoup de temps libre pour passer leur vie quotidienne. Voyons comment le cours est informel selon les étudiants: "Il y a beaucoup d’activités amusantes à l’oral et d’articles courts et simples à comprendre qui nous donnent envie de parler et de participer dans les activités pour comprendre mieux l’objectif de la séance", raconte Maisarah Aimi, une
    Les étudiants de nationalités variées
    Les étudiants de nationalités variées
    étudiante de ce cours. Ils ne s’ennuient jamais, en fait ils sont excités avant d’entrer dans leurs cours. Par conséquent, ils viennent toujours au cours à l’heure. L’enseignement qui a lieu seulement dans la salle de classe s’ appuie surtout sur l’écoute et sur l’oral. "À l’inverse, nous faisons beaucoup d’effort au niveau de grammaire comme faire un essai chaque semaine à part de réviser tous les jours pour 2 heures ou davantage après ou avant le cours parce que nous croyons que la révision est très essentielle et demandée par les professeurs", affirme Iman Zarith, témoin malaisienne du cours. Pour eux, la phonétique est le plus grand obstacle  et ils le résolvent en chantant des chansons françaises et en écoutant des témoignages et en les répétant. De toute façon, ils aiment beaucoup leur cours.

    Le cours intensif
    Celui-ci est à peu près comme le précédent. Ce cours dure 5 heures par jour et 25 heures par semaine pour une durée d’un mois seulement. Malgré le temps long dans la classe, il ne dérange pas les étudiants de nationalités variées de passer leur vie quotidienne à étudier. Ils révisent, cherchent des informations, écoutent des chansons à la maison comme cela est une exigence supplémentaire par des professeurs pour environs une heure pour comprendre mieux dans les cours qui deviendraient difficile quand ils passent à un autre niveau plus haut. "Dans la classe, nous faisons des discussions chaleureuses avec les professeurs et parfois passent un contrôle à la fin de la semaine" ,dit Ryan, un étudiant américain. Les étudiants sont extravertis ou introvertis selon la discussion temporaire et quand ils ne comprennent pas, ils ne peuvent pas répondre ou bien continuer à parler. "Les professeurs motivés nous appuient surtout au niveau de l’oral et l’écoute, donnent des petits devoirs nécessaires et de temps en temps proposent une sortie s’ils peuvent", ajoute-t-il. Ce n’est pas que la leçon soit difficile mais les étudiants doivent améliorer leur français en pratiquant ce qu’ils apprennent. En somme, ils aiment bien leurs cours, ça c’est sûr.

    Le cours de LCS
    Des étudiants devant le CLA
    Des étudiants devant le CLA
    Ce cours est plus scolaire et universitaire que les autres cours et sert souvent aux étudiants qui voudraient continuer leurs études dans les universités françaises locales ou ailleurs. Il y a deux classes dans ce cours qui sont la classe obligatoire et la classe optionnelle et qui font au maximum 17 heures ou 18 heures par semaine auxquelles tous les étudiants doivent participer de manière à obtenir leur diplôme pour aller dans les universités choisies. Alors l’emploi du temps diffère pour chaque étudiant selon leurs choix des modules optionnels et il leur convient car d’abord les étudiants choisissent leurs classes en fonction de leur vie quotidienne. "Le cours est plutôt informel puisque nous posons des intrigues et répondons toujours aux questions avec les professeurs sur un sujet informatif ou argumentatif d’un article d’un magazine ou un journal qui peut avoir une discussion très vivante et peut également avoir une discussion sombre ou bien silencieuse!" raconte Quzairie, un étudiant en C1.1. Cette façon d’étudier est efficace selon eux vu qu’ils découvrent du vocabulaire nouveau et de nouvelles idées pour analyser ensemble le sujet difficile qui est parfois compréhensible et parfois complexe. "Les professeurs nous donnent énormément de devoirs ou des projets et faire des visites pour réaliser complètement des séances du cours. C’est pour cela, nous venons en classe chaque jour de la semaine tranquillement sauf quand nous oublions notre devoir" affirme Fadzli, un étudiant malaisien en B1.1. Par ailleurs, comme ils croient que la révision est un ascenseur scolaire à part de lire et parler beaucoup, ils révisent vraiment la grammaire, font de recherches sur des actualités et approfondissent le français par des lectures de la littérature française empruntée à la médiathèque constamment une heure ou deux heures par jour bien que les professeurs ne le demandent pas. De plus, ils se concentrent plus sur le vocabulaires et sur la manière d’élargir leurs idées.

    Le cours de LVE
    Ce cours de langue vivante étrangère qui vise les employeurs professionnels à approfondir l’anglais ( ou une autre langue ) dans la semi-journée a 20 heures par semaine et convient à leurs emplois du temps de travail comme ils travaillent dans le soir. "Ce que nous apprenons en cours est parler, discuter et converser entre les professeurs et nous ou bien dans des groupes pour s’adapter dans des situations variées ou autrement dit une mise en situation selon nos emplois différents" dit Jérôme, un étudiant au CLA et pharmacien au dehors. Ensuite, les étudiants se sentent très motivés et ont envie de parler toujours en prenant des notes sur la  grammaire puisque le sujet est ouvert et intéressant et avec la technologie comme le tableau électronique, l’enseignement est plus facile et pratique d’ailleurs. De plus, ils révisent volontairement eux-mêmes un peu comme regarder la télévision en anglais, par exemple le Skynews et le CNN de manière à savoir ce qui se passe globalement, lire des livres anglais dans le but d’enrichir leurs vocabulaires et relire des documents qu’ils apprennent au cours soit avant de dormir, soit avant de partir à la classe. Finalement, "nous nous concentrons tellement au niveau de la grammaire, le vocabulaire, et notre connaissance pour nos avenirs surtout dans le monde professionnel" affirme Laurent, un étudiant en ingénieurie robotique.

    Contoh karangan pendek untuk DELF Bahasa Perancis tahap B1

    J'aurais voulu devenir un artiste fameux et riche, j'aurais aimé être un artiste qui (que ses oeuvres) soit (soient) exposé (exposés) au Louvre, à côté de Mona Lisa (La Joconde), j'aurais souhaité être un artiste respecté et toujours recherché (cherché) par les gens, mais j'aurais eu peur de devenir quelqu'un de mauvais et de m'énivrer chaque soir et de ne rentrer qu'après la fermeture des théâtres. De toute façon, tu m'aurais évité, et ça j'en suis sûr.

    ***
    Ce dessin nous annonce que des Français vont défiler dans les rues demain de manière à dire stop aux gestes...
    Cet article nous dit qu'il y a une petite Américaine qui s'appelle Winter Vinecki qui a courue sur (dans) chaque continent afin d'organiser une collecte d'argent au profit de la recherche sur le cancer de prostate.

    ***
    Samedi matin, j'étais chez moi. J'avais du temps, alors j'ai préparé un plat traditionnel pour faire plaisir à mon mari qui l'adore. Après, j'ai couché mes enfants. Vers 14h, nous sommes allés faire du shopping à Géant Casino en voiture pour acheter des vêtements chauds parce que mes enfants n'en avaient pas.

    Sunday, October 25, 2015

    Contoh karangan pendek untuk DELF Bahasa Perancis tahap A2

    Il s'appelle Batiste Leroy. Son métier est coiffeur (Il est coiffeur). Ses goûts sont faire la fête avec ses copains, aller dans des bars ou au restaurants (aller aux bars ou aux restaurants), voyager et rencontrer des gens et écouter les chansons françaises. Ses loisirs sont de faire de la musique, jouer de la guitare, chanter dans un groupe et faire du ski, du parapente et du surf. Il peut aller (participer) à l'émission de Nouvelle Star.

    ***
    Pour le premier voyage, il est plus court que le deuxième voyage. Le premier voyage a autant de personnes d'une groupe que le deuxième voyage. Le premier voyage a moins de lieus (lieux) de visite que le deuxième voyage. Le deuxième voyage est autant de qualité d'hôtel que le premier voyage (Les 2 voyages one des hôtels de même qualité). Le deuxième voyage est plus cher que le premier voyage. Alors, je prefèré (préfère) le voyage numéro 1 parce que c'est plus bon marché.

    ***
    Salut mon ami, Qu'est-ce que tu fais maintenant? Désolé pour la faux d'épéler (la faute sur) ton nom, je suis un peu maladroit parfois. Mes écritures sont laides, non? Désolé aussi pour ça. A prochaine (la prochaine) rencontre. Si Dieu le veut.

    ***
    Une personne a écouté (entendu) des coqs ont parlé (chantaient) et des alarmes de réveil ont sonné. Il s'est réveillé tout de suite et l'horloge a indiqué 6 heures pile. Après, il est allé à la toilette (aux toilettes). Il a mangé un simple petit-déjeuner à (dans) sa cuisine qu'il a fait tout seul: un (du) fromage et un (du) café et il est allé à sa voiture pour aller à son travail où il travaillait comme surveilleur (surveillant). Il est arrivé à la gare, puis il est entré dans son bureau où il a mettu (mis) ses choses. Après cela, il a vu des travailleurs et des personnes qui tener (tenaient) un marteau-piquer pour modifier la gare comme il a voulu. Ensuite, il a téléphoné l'ambulance parce qu'il a été (eu) un accident à (dans) la gare grâce à (et c'était) une personne qui appeler son nom pour (lui exige de) téléphoner l'ambulance: "Jacques Michel! Téléphoner (Téléphonez l'ambulance!"

    ***
    Cette la memoirs-là (C'était cette mémore-là) qu'il a rappelée (dont il s'est souvenue) ses 30 ans derniers: le (un) temps où ce été (c'était) très dur pour (de) téléphoner quelqu'un, mais aujourd'hui, il y a beaucoup de téléphone portable moderne (téléphones portables modernes).

    ***
    J'ai toujours envie de travailler dans un lycée surtout dans le lycée Christine Lyet parce que ce lycée est le meilleur en France, je pense. Le système dans ce lycée est rangée (organisé) que les autres lycées. J'aimerais travailler comme assistant d'éducation parce que je peux (pourrais) voir les comportements des étudiants. Par exemple comment font-ils des rélations (relations) et des amis entre eux. De plus, le salaire est que je préfére (je préfère le salaire). Il est suffisant pour moi et ma famille (ma famille et moi). Il y a aussi le (un) contrat indéterminé où que (, donc) je pourrais, si je voudrais (voulais), quitter le travail. Je peux (pourrais) aussi l'utiliser pour voir et suivre la situation de mes enfants, là dans ce lycée. Le travail n'est pas fatigant parce que tout le chose j'aurais faire est les (je ne devrais faire que) des choses simples: appeler les parents pourquoi ses (leurs) enfants ne pas venir (ne sont pas venus) et etc.

    ***
    Il a habité dans un appartement à Besançon seul. Il veut (voulait) étudier et travailler dans un autre pays pour vivre différentment (différemment). Il a reçu une bourse pour étudier en Malaisie parce qu'il a réussi un examen. Il connait (sait) maintenant que travailler en Malaisie est très fatigant pqrce qu'il y a beacoup de soleil, tous les jours. Il habite dans un immeuble de Malaisien (malaisien). Il travail partiel-temps (à temps partiel) dans un restaurant malaisien à Kuala Lumpur. Il est très content et peut s'adapter avec les (aux) gens de la Malaisie. Il sait bien la langue de malaise (la Malaisie) et peut cuisine la nourriture traditionnelle qui s'appelle "rendang". Aujourd'hui, il parle le français, le malais, l'arabe et l'anglais. Il aime le football et l'internet (Internet): Facebook et Twitter.

    ***
    Le week-end dernier, j'ai parlé avec ma mère par mon téléphone portable. Quelques jours avant ça, j'avais essayé plusieurs fois mais le téléphone avait toujours eu quelquels fonctionnes qui sont (étaient) en pannes parce que mon téléphone n'est pas (n'était pas) moderne. Quand j'ai appelé, d'abord, j'ai pensé il (que ce) sera (serait être) la même chose comme avant (d'ordinaire) mais après 2 minutes, ma mère a décroché mon appel. Elle me dit (m'a dit) que (:) Allô? Qui est à l'appareil? Je l'ai répondu (répondue) avec excitation. Elle me demande (m'a demandé) si je téléphone (lui téléphonais) en mangeant, j'ai ri et lui j'ai répondu (je lui ai répondu): oui. Après cela, elle me sui faché (elle s'est fâchée contre moi) et elle me dit (m'a dit) que je lui avais manqué (je lui manquais) vraiment et j'ai pu entendre qu'elle pleurais (pleurait) un peu. Elle me dit (m'a dit) que si je retourne (retournais) à notre pays (en Malaisie), elle m'embrassera (m'embrasserait). Tout à toup, le (la) ligne a terminé (était coupée).




    Saturday, October 10, 2015

    Analisis novel La Symphonie Pastorale, oleh André Gide

    André Gide: penulis
    Tarikh lahir: 22 November 1869 di Paris
    Tarikh permergian: 19 Februari 1951 di Paris
    Kejayaan: Hadiah Nobel dalam Kesusasteraan (1947)

    Fatin Aiman KAMARUDDIN 
    08.10.2015
    La Symphonie Pastorale, André GIDE ; 1919 Paris ; 149 p.

    PRESENTATION DE L’AUTEUR
    André GIDE (1869-1951) est un écrivain français venant d’une famille bourgeoise protestante, ayant découvert son homosexualité en 1893 pendant son voyage en Afrique du Nord où a commencé sa vie littéraire . Après son retour de l’Afrique du Nord, il a décidé de passer par la Suisse pour soigner sa maladie névrose et il a écrit une œuvre littéraire, Les Nourritures terrestres. Il meurt en 1951 à Paris à cause d’une congestion pulmonaire.
    1897
    André GIDE défend des Dreyfusards dans le conflit de l’affaire Dreyfus
    1908
    L’un des fondateurs de la Nouvelle Revue Française – Le premier numéro
    1937
    André GIDE écrit Retouches à mon « Retour de l'U.R.S.S. » après Retour de l'U.R.S.S. qui indique la rupture de sa relation avec le communisme.
    1947
    Il est honoré par le prix Nobel de littérature.

    GIDE André, La Symphonie Pastorale, Paris, Gallimard, Nouvelle Revue Française, 1919
    L’immoraliste, Paris, Mercure de France, 1902
    La Porte Etroite, Paris, Mercure de France, 1909

    RESUME DU LIVRE
         La Symphonie Pastorale est le récit complexe d’un conflit à la fois religieux et amoureux. Etant un pasteur protestant, le cœur du narrateur se bat vigoureusement pour avouer son amour à une jeune fille aveugle, Gertrude, elle-même amoureuse du fils du pasteur.Ce triangle amoureux renvoie à un amour confus et mystérieux montrant le vrai amour où l’on peut apercevoir que l’amour, lui-même est aveugle. Quant à Gertrude, elle découvre le plaisir d’être une aveugle en étant plus sensible au sens de l'ouïe.

    L’EXTRAIT
         Tout occupé par mes comparaisons, je n’ai point dit encore l’immense plaisir que Gertrude avait pris à ce concert de Neuchâtel. On y jouait précisément La Symphonie Pastorale. Je dis « précisément » car il n’est, on le comprend aisément, pas une œuvre que j’eusse pu davantage souhaiter de lui faire entendre. Longtemps après que nous eûmes quitté la salle de concert, Gertrude restait encore silencieuse et comme noyée dans l’extase.             – Est-ce que vraiment ce que vous voyez est aussi beau que cela ? dit-elle enfin. – Aussi beau que quoi, ma chérie ? – Que cette «  scène au bord du ruisseau ». Je ne lui répondis pas aussitôt, car je réfléchissais que ces harmonies ineffables peignaient, non point le monde tel qu’il était, mais bien tel qu’il aurait pu être sans le mal et sans le péché. Et jamais encore je n’avais osé parler à Gertrude du mal, du péché, de la mort.
    -          Ceux qui ont des yeux, dis-je enfin, ne connaissent pas leur bonheur.
    -          Mais moi qui n’en ai point, sécria-t-elle aussitôt, je connais le bonheur d’entendre. 

    COMMENTAIRES
          Selon moi, cet extrait présente une vue d’ensemble de cette œuvre car cela montre la capacité d’une fille aveugle à bien utiliser son sens de l'ouïe sans la vue et également donne l’impression que Dieu est juste étant donné qu’un aveugle n’a pas de péché. Même si je peux tout voir et tout entendre, il me reste des tas de responsabilités à endosser dans la vie. Cet extrait contient tous les aspects de l’histoire : la seule fois que le titre de l’œuvre a été abordé, la relation entre l’amour et l’innocence du personnage et de montrer que la vie n’est pas toujours dans l’extase.

    AVIS PERSONNEL

          D’être une aveugle est la dernière chose que je souhaite devenir dans ma vie. Je pensais que si je perdais la vue, je perdrais tout : le pouvoir d’agir, de réfléchir, d’entendre. Comme je suis myope, j’ai des problèmes à faire avancer des choses sans mes lunettes ou mes lentilles. J’ai peur d’être une aveugle. Oui, j’avoue. Or, cette belle histoire de Gertrude m’a fait ouvrir les yeux sur le fait qu’une aveugle peut vivre une vie plus normale qu’une normale. Je me suis rendue compte que cet irremplaçable sens de la vue pourrait nous mettre de l’autre côté du monde. Maintenant, je suis convaincue que les aveugles sont plus forts dans le sens de coordinations de conduire leurs vies que nous, qui avons les yeux remplis de perles. Les perles ayant bloqué notre vraie raison d’être.

    Friday, October 9, 2015

    Analisis novel autobiografi, Mémoire d'une jeune fille rangée, oleh Simone De Beauvoir

    Antara makalah rujukan utama dalam ideologi eksistentialisme
    Simone de Beauvoir: Ahli falsafah, penulis, pengkritik, feminis, pendidik
    Tarikh lahir: 9 Januari 1908 di Paris, Perancis
    Tarikh meninggal: 14 April 1986
    Pekerjaan khusus: Guru di Marseille, Rouen dan Paris.
    Pendidikan: Cours Adeline Désir (Pendidikan rendah), Institut Catholique (Pendidikan tinggi), Institut Saint-Marie (Pendidikan tinggi), Sorbonne (Pendidikan lanjutan)
    Sumbangan: Menstruktur falsafah eksistentialisme dan feminisme

    Muhammad Usamah Bin MOHD RIDZUAN, 08/10/2015
    Mémoires d’une fille rangée, DE BEAUVOIR Simone, 1958, Paris, Gallimard (473 pages)

                Simone De Beauvoir est née le 9 janvier 1908 à Paris où elle a fait ses premières études dans un établissement scolaire catholique, L’Institut Adeline Désir dit le cours Désir, jusqu’au baccalauréat. Elle a passé son agrégation en philosophie en 1929, l’année où celle-ci s’est nouée en relation amicale avec Jean-Paul Sartre avec qui, ensuite, elle fondait vertueusement une revue relativement philosophique, Les Temps Modernes. La première œuvre considérée comme son début de sa vie d’écrivain est L’Invitée (1943), suivis de Le Sang Des Autres (1945), Tous Les Hommes Sont Mortels (1946), Les Mandarins (1954), Les Belles Images (1966), La Femme Rompue (1968) et Quand Prime Le Spirituel (1979). D’ailleurs, elle a consacré également à d’autres types de texte: récit, théâtre et notamment essais. Ce dernier est marqué par son célèbre et véritable ouvrage de référence du mouvement féministe mondiale, Deuxième Sexe (1949) auquel l’auteur se penche sur l’existentialisme. Ce grande philosophe féministe s’est éteint le 14 avril 1986 à Paris.

                Ce bouquin d’autobiographie décrit des événements en détail tout au long de l’âge de ses premières années jusqu’à sa 21 ans dans lesquels l’auteur cherche profondément à définir ses sentiments ainsi que son état d’âme dans sa plénitude. Cajolée et adorée, son enfance fut une découverte du monde, du milieu familial et de l’enseignement précoce qui la forment et marquent son attitude penseur lucide; le Bien et le Mal sont deux dimensions qu’elle essaie de décortiquer. Trouvé ensuite une amie à jamais, Élisabeth Mabille ou plus intimement Zaza, avec qui Simone s’épanouit dans ses échanges intellectuels, cette dernière se montre très cultivée dans sa classe à l’Institut Adeline Désir. Souvent curieuse de ce qui l’entoure et de ce que sa mère lui dissimule, elle découvre seule la vérité à travers des lectures dans des livres dont certains sont prohibés ou censurés par sa mère. Les révélateurs livresques auquel s’ajoute sa réflexion personnelle et ses connaissances en classe aboutissent à des éclairements candides sur une étendue de questions, en particulier sur l’existence et le sens de vivre, d’où finalement son athéisme. Rencontrant ensuite son cousin, Jacques Laiguillon, Simone traverse sa jeunesse avec des intrigues voire des convoitises sur les libidos et l’amour-propre étant donné qu’elle est remuée et émue par l’affection apparente, sentie par elle seule, de Jacques. Simone prend sans hésitation la décision de poursuivre la filière de littérature et ensuite la philosophie lui permettant de demeurer seule, loin de ses parents qui ne la comprennent plus jusqu’à l’oppression absolue. C’est alors qu’elle fait beaucoup de contacts, parmi eux Stépha, Herbaud, Pradelle et Sartre, avec qui elle se réjouit et se nourrit délibérément de nouvelles idéologies soit par pure observation soit par des conversations soit par des travaux menés ensemble. Atteinte à son apothéose, Simone réussit à l’agrégation et à l’appréhension totale de son existence et en quoi cela regarde aussi: ses devoirs, qui la mène vers des suites plus vertueuses.

                À la page de 149 et 150: [« Je n’ai pas de personnalité »…je les subis avec dépit.]
    « Je n’ai pas de personnalité », me dis-je tristement. Ma curiosité se donnait à tout ; je croyais à l’absolu du vérité, à la nécessité de la loi morale : mes pensées se modelaient sur leur objet ; si parfois l’une d’elles me surprenait, c’est qu’elle reflétait quelque chose de surprenant. Je préférais le mieux au bien, le mal au pire, je méprisais ce était méprisable. Je n’apercevais nulle trace de ma subjectivité. Je m’étais voulue sans borne : j’étais informe comme l’infini. Le paradoxe, c’est que je m’avisai de cette défiance au moment même où je découvris mon individualité : ma prétention à l’universel m’avait paru jusqu’alors aller de soi, et voilà qu’elle devenait un trait de caractère. « Simone s’intéresse à tout. » Je me trouvais limitée par mon refus des limites. Des conduites, des idées qui s’étaient imposées tout naturellement à moi traduisaient en fait ma passivité et mon défaut de sens critique. Au lieu de demeurer la pure conscience incrustée au centre du Tout, je m’incarnai : ce fut une douloureuse déchéance. La figure que soudain on m’imputait ne pouvait que me décevoir, moi qui avais vécu comme Dieu même, sans visage. C’est pourquoi je fus si prompte à me jeter dans l’humilité. Si je n’étais qu’un individu parmi d’autres, toute différence, au lieu de confirmer ma souveraineté, risquait de se tourner en infériorité. Mes parents avaient cessé d’être pour moi de sûrs garants ; et j’aimais tant Zaza qu’elle me semblait plus réelle que moi-même : j’étais son négatif ; au lieu de revendiquer mes propres particularités, je les subis avec dépit.

    Je prends cet extrait en tant qu’un reflète de moi-même et une perception adéquate, en prenant sous un autre angle que mène Simone, à exhorter positivement la différence. Celle-ci se définit comme une déviation, acheminant à un nouveau monde, d’une route commune menant au monde banal et usé. Certes que l’auteur subit douloureusement de détresse par son absence d’une personnalité en dépit du charme de son amie, mais il faut savoir qu’une infime universalité, ici se distingue à une particularité personnelle, modèle des gens extraordinaires: une fois appréhendé les oppressions ou les émerveillements brusques des sentiments. En effet, se donner à tout conduit au bout du chemin la meilleure incarnation d’une personnalité rangée et maîtrisée.

                En lisant le livre, je me suis rendu compte quel est le sens de mon existence de même que de mes sentiments subits et passagers auxquels le devoir et la conduite s’imposent alors comme retombées. De plus, un environnement influence notre attitude marquante, dédaigneuse pour nous bizarre pour d’autres, donnant accès à un avenir vraisemblablement pareil à notre case de départ. Par ailleurs, une chose même si elle s’éclipsait devant nous risque avoir de grandes conséquences à notre futur dont la fiabilité demeure toujours éphémère: tout est possible d’altérer. Est-ce par ce que l’on fait nous rend à notre avenir ou bien par ce que l’on pense de faire nous amène à notre futur? Simone continue de survivre, agir et réagir sans savoir exactement les chemins à prendre ou quel sentiments à s’appliquer, pourtant, elle parvient à une démarche la poussant éventuellement d’initier d’abord par ce qu’elle escompte de convoiter ou d’accaparer. De là, elle se heurte à en réaliser jusqu’à ce qu’elle choit de nouveau dans le dilemme ténébreux. Somme toute, il faut juste recommencer de ce que l’on a commencé: être heureux.